Littérature gourmande

L’origine du mot « gourmand » n’est pas très précise. Pour le Robert c’est "gromet", pour le Larousse c’est "gormat", l’un et l’autre signifiant "valet".

Dès le début, le mot gourmand a un sens négatif : défaut du goinfre, glouton et vorace, et classé sans hésitation parmi les sept péchés capitaux !

Ce n’est qu’au XIXe siècle que la gourmandise définit le goût pour les mets raffinés, pour le plaisir de la bonne chère et que gourmand devient synonyme de gourmet ou gastronome.

De nombreux auteurs et éditeurs ont consacré des livres, voire des collections, à la relation privilégiée qu’entretiennent les mots avec les mets.

Notre dossier vagabonde parmi ces lectures gourmandes.